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BIOGRAPHIE
Carlo Regazzoni n’est ni théologien, ni canoniste mais philosophe de la culture catholique lié à l’enseignement de l’Église jusqu’à Vatican II.
Il a obtenu en 1968 un doctorat en philosophie à l’Université de Fribourg (Suisse) à une époque où cette matière était enseignée par les dominicains. Il a compté, parmi ses professeurs, les RP Bochenski (historien renommé de la logique), L.B.Geiger, (auteur d’une monographie intitulée La participation dans la philosophie de Saint Thomas, éditée chez Vrin, en 1953).
Il a achevé ses études en 1968 avec une thèse de doctorat, rédigée en allemand, avec, pour titre, Sittliche Normen und sinnvolle Lebensgestaltung. L’ouvrage a été édité, sous le numéro XXII par l’Institut international de sciences sociales et politique (Politeia) de l’Université de Fribourg.
De 1969 à 1997 il a séjourné en Afrique.
De 1999 à 2005, il a suivi des cours de droit à l’université de Bâle (Suisse). Il est membre de l’Association suisse pour la philosophie du droit et pour la philosophie sociale.
Il a publié plusieurs articles dans sa revue Nomos, éditée par la maison d’édition Franz Steiner. Son article sur l’antimodernisme soutenu par le Saint Pape Pie X dans l’encyclique « Pascendi » a fait l’objet d’une citation dans l’ouvrage du Professeur Dominique Millet-Gérard Le Signe et le Sceau (p. 290).
Il a également participé, de 2002 à 2005 aux symposia orgsanisés par l’Institut Universitaire Saint Pie X de Paris, à l’occasion des quarante ans du début du concile.
En 2004, son intervention avait pour thème : « L’unité du genre humain d’après Vatican II ― une laïcisation de la cité de Dieu. »
En 2019, soixante ans se seront écoulés depuis la disparition du Pape Pie XII, le dernier pape lié à l’esprit du Concile de Trente. À un moment où son successeur actuel irrite même les cardinaux connus pour leur attachement à l’enseignement du concile il est nécessaire d’éclaircir la façon dont s’est déroulée la succession de Pie XII.
Ouvrage(s) de l'auteur